Une histoire fiévreuse et douce amère liée à une période très troublée, celle de l’après guerre à Berlin. Le protagoniste c’est Gerd, communiste convaincu et fou amoureux de Käthe encore plus radicale que lui. C’est elle qui a l’idée de concevoir une Caserne où seront élevés les enfants des plus grands scientifiques communistes, pour la patrie… Un projet fou et inhumain à l’image des relations de plus en plus tendues et complexes entre le bloc de l’ouest et celui de l’est. Gerd est pris entre ces deux idéologies, symbolisées par les deux femmes qu’il aime, Käthe et l’américaine Liz.
Un roman d’espionnage, d’amour et de désillusion assez prenant même s’il m’a manqué je ne sais quoi pour être vraiment touchée.
J’avais aimé « ce qu’il faut de nuit » de cet auteur, alors pourquoi pas celui-ci, si je le trouve à la bibliothèque.
Ce roman pourrait me plaire, comme Aifelle j’avais aimé Ce qu’il faut de nuit… mais peut-être vais-je attendre son avis, puisqu’il t’a manqué un petit quelque chose.
D’accord avec toi… plus troublant que poignant … rien à voir avec Ce qu’il faut de nuit, à l’humanité déchirante. Il y a comme une fraîcheur de l’Est qui souffle ici 😏qui contient l’émotion, celle des personnages comme la nôtre.
Jolie ta dernière phrase et très juste !
😘
J’avais adoré Ce qu’il faut de nuit de l’auteur mais j’ai entendu plusieurs fois que celui-là était un petit cran en dessous…
Je n’ai rien lu d’autre que ce titre mais comme toi j’ai lu sur des blogs que celui-là était moins réussi…