Ne cherchez pas la coupable, le lecteur la connaît dès le premier chapitre : Ayané Maschiba a tué son mari, après qu’il lui a annoncé qu’il la quittait pour une autre femme et parce qu’elle n’était pas enceinte au bout d’un an, alors qu’il lui avait imposé ce drôle de contrat : le divorce au bout d’un an s’il n’y avait pas d’enfants…
Mais pour la police c’est une autre paire de manches ! Même s’il ne fait pas de doute que Yoshitaka est mort empoisonné en buvant une tasse de café, les enquêteurs ne soupçonnent pas Ayané, qui était au moment du meurtre en voyage chez ses parents… Alors, comment a-t-elle fait ? Les policiers pataugent, surtout que l’inspecteur Kusagani semble bien troublé par la belle Ayané… C’est le physicien Yukawa qui, par sa logique et son ouverture d’esprit, trouvera la solution, comme il l’avait déjà fait dans d’autres enquêtes que j’avais déjà beaucoup appréciées, L’équation de plein été, ou le dévouement du suspect X. Dans ce roman, pas de violence ni d’action mais une enquête tout en subtilité, où il est question de vengeance, de trahison, d’amour déçu, de douleur et… de café bien sûr 🙂
Celui-là, il doit être dans ma PAL !
Je pourrais revenir à cet auteur (pour le dévouement, j’ai lâché prise et n’ai pas tout compris de la fin, bref)
Moi c’est le polar suivant de lui (« la prophétie de l’abeille ») qui m’est tombé des mains !! Inégal, quoi.
J’avais bien aimé ce polar très lent.
oui moi aussi !
Je viens de le lire et j’ai bien aimé. Je vais m’intéresser à L’équation de plein été, si on y retrouve les mêmes enquêteurs.
Ma première lecture avec cet auteur.
Par contre, j’ai bien aimé la prophétie de l’abeille et son tout dernier livre traduit en France, la fleur de l’illusion.
Oh, je note le titre du dernier alors ! j’aime vraiment bien cet auteur.