J’avais tellement aimé la trilogie de Marie Laberge, la sage de Gabrielle, Adélaïde, Florent, Le goût du bonheur, mais aussi le livre autour du thème du suicide, Ceux qui restent.
Celui-ci est une enquête policière menée par Patrice et Vicky qui réouvrent un dossier classé sans suite, à la suite du meurtre d’une femme, Emilienne Gagnon, qui avait conduit son propre fils, Paul, en prison parce qu’on l’avait jugé coupable de ce meurtre. Le duo débarque dans un petit village où chacun semble avoir des choses à cacher… peu à peu les secrets de famille sortent au grand jour. Il est évidemment question de mauvaise foi, qui n’est pas toujours où on le pense…
J’ai fini par me prendre au jeu, mais un peu tard, j’ai trouvé le rythme un peu lent et l’intrigue peu étoffée, mais c’est un vibrant réquisitoire comme les abus sexuels dans l’Eglise.
« … ce mystère de la férocité sexuelle qui peut sublimer ou anéantir l’être humain, permettre de vivre à plein ou de détruire à jamais, cet appétit premier qui prend ensuite tant de formes ou qui s’éteint mystérieusement. Il n’y a pas un appétit de pouvoir qui ne repose sur la sexualité. »
Ce sera parfait pour la catégorie « adjectif » du challenge Petit Bac et de celui autour des thrillers et polars !
Merci pour ta participation !
Je n’ai encore jamais lu cette auteur.
Je n’ai lu que « Gabrielle » avec grand plaisir. Je ne demande qu’à la relire, d’autant plus que j’ai rencontré l’auteure et que je l’ai trouvée fort sympathique.
J’aime beaucoup Marie Laberge, Je n’ai pas lu sa fameuse trilogie mais 2 autres livres dont Ceux qui restent. Celui-ci ne me tente pas…